Richard MUYEJ MANGEZE MANS n’est pas une excuse à la violation de l’article 198 de la constitution (Tribune de Éric Tshikudi)

Au Lualaba, l’équipe de Fify MASUKA, visiblement bloquée par le prescrit du 2ème alinéa de l’article 198 de la constitution, n’a plus de repère et se perd dans la marche à suivre. Contre toute attente, elle revient avec le nom du gouverneur Richard MUYEJ MANGEZE qui n’est même pas leur challengers. Obsession ou diversion ?

Ce qui est certain est que le gouverneur Richard MUYEJ MANGEZE MANS restera dans la tête des lualabais et de l’ensemble des congolais comme étant l’homme qui a impulsé le développement dans cette province. Personne ne saurait lui voler cette qualité. De l’Afrique du Sud où il séjourne pour sa santé, il ne pense même pas à la compétition au poste de gouverneur du Lualaba. Quand quelqu’un a pris la direction de la justice divine, c’est une erreur de se mettre sur sa route, où Dieu est le seul juste et maître du temps et des circonstances.

Qui s’y frotte, s’y pique, dit la vielle maxime. Les affidés de Fify MASUKA ne saurait pas échapper à cette sanction, car l’heure de la vraie justice est en téléchargement. Le juste juge, qui est Dieu, ne laissera plus pendant longtemps la méchanceté dominer la bonté.

Le savent-ils ?

1. Fify MASUKA, vice-gouverneure, a été secourue par son titulaire et elle l’a remercié publiquement. Mais son titulaire, Richard MUYEJ MANGEZE MANS, avant sa démission, a séjourné à l’hôpital en Afrique du Sud. Si les frais d’hospitalisation ont effectivement été pris en charge par le gouvernement provincial, plus rien n’a été versé à son profit depuis sa sortie de l’hôpital. Même quand il est retourné pour le contrôle médical en Afrique du Sud. Ses émoluments du gouverneur, auxquels il avait droit avant sa démission en janvier 2023, n’ont jamais été versés jusqu’à ce jour. Peut-être que le fait de le voir en vie et en bonne santé les énerve. Sinon, comment comprendre les attaques dirigées contre sa personne, alors qu’il n’est candidat à rien, même pas à sa chefferie ?
2. Auprès de Richard MUYEJ MANGEZE MANS, Fify MASUKA dont tout le monde connaît les limites, a appris. À ses côtés, l’exercice de l’apprentissage s’est fait sans minerval. Mais si elle a elle-même séché les cours, au point de NE RIEN FAIRE à la tête de la province après son coup d’Etat institutionnel, en quoi le nom de Richard MUYEJ MANGEZE MANS serait un gâteau à donner aux serpents qui ne consomment même pas cette nourriture ?

Aux yeux des lualabais, ces serpents sont à Kinshasa. Le discours, ils ne le consomment pas, car la vérité leur impose constamment sa logique, mais leurs ventres sont bien engraissés. Pourquoi ne pas sortir de l’hypocrisie et donner directement de la bonne nourriture, loin du nom de Richard MUYEJ MANGEZE MANS ?